lundi 25 octobre 2010

TOC: une expérience sensorielle pour les mordus de cuisine


Implantée au centre ville de Bordeaux, la boutique TOC, signifiant Troubles Obsessionnels Culinaires, est un paradis sensoriel pour les amoureux de la cuisine.
Entre des produits d'épicerie en tout genre et une gamme d'ustensiles au sens large très étendue, le magasin propose un large choix de produits et accessoires de cuisine tous plus originaux les uns que les autres.
Mais la dimension marketing ne s'arrête pas à l'originalité des produits commercialisés. Dans cette boutique très ludique, c'est une réelle expérience sensorielle qu'on offre aux passionnés de cuisine. En effet, ces derniers ont la possibilité de tester sur place les produits, de participer à des animations culinaires et de bénéficier des conseils de qualité d'un personnel compétent et également passionné.
Enfin, l'aspect sensoriel prend toute son ampleur lorsque le client monte à l'étage entièrement dédié à la pâtisserie. En effet, c'est bel et bien l'odeur appétissante d'un fondant au chocolat que le magasin diffuse sur l'ensemble de l'étage, pour inciter le client à se précipiter sur des sirops aromatiques au goût surprenant, des machines à sodas, ou encore des moules à gâteaux de forme atypique extrêmement ludiques pour satisfaire l'excitation instantanée des papilles.

Amateurs de cuisine ou simplement curieux, il vaut le coup d'aller y faire un petit tour: 
24 Rue des Trois Conils, 33000 Bordeaux.
Et pour ceux qui ne sont pas de la région, TOC est aussi implanté à Toulouse, à Annecy et la marque a son propre site Internet. Le concept n'est pas aussi ludique que celui des boutiques, mais le site est à l'image de l'enseigne: http://www.toc.fr/

Bonne expérience sensorielle culinaire!

mercredi 13 octobre 2010

Le "Dance Marketing" ou la danse comme nouvel outil marketing

Dans un monde où la satisfaction du consommateur est l'objectif primordial de chaque innovation, le marketing ne restreint pas son champ de moyens.
C'est ainsi que l'on voit apparaître la danse dans de nombreux domaines dans l'objectif de "faire vendre".

Alignés sur cette tendance, de nombreux jeux de consoles s'ouvrent de plus en plus à la danse. Au milieu des jeux de combats, de karaoké ou de sports divers, les jeux liés à la danse se font une place en rivalisant d'originalité. De la possibilité d'imiter la manière de danser de Michael Jackson, à celle d'apprendre les pas d'une chorégraphie pré-enregistrée, par l'intermédiaire de capteurs insérés dans un tapis, les modèles sont multiples.


Parallèlement à cet aspect ludique, un nouveau phénomène est récemment apparu: le "Dance Marketing". Il s'agit certainement de l'exemple le plus représentatif de la tendance évoquée ci-dessus. Défini comme étant une manière originale de communiquer autour d'un produit, ce phénomène se manifeste concrètement par la mise en action ponctuelle de personnes travaillant pour la société en question. 

Précurseur dans le domaine, Ikea a lancé cette tendance en Espagne, où, après un signal donné, tous les employés du magasin avaient pour mission de se rassembler et exécuter une chorégraphie sur la musique d'Abba.
Coca-Cola a suivi la tendance en reproduisant un schéma similaire en pleine rue à Madrid pour promouvoir les effets du Coca-Cola Light.
Enfin, pour créer le buzz autour des Microsoft Store, magasins venant concurrencer le concept des Apple Store, Microsoft a aussi surfé sur la vague du Dance Marketing en demandant à ses vendeurs de se mettre en action au sein même des boutiques pour surprendre les acheteurs potentiels.


Un moyen de communication innovant certes, mais dont les effets restent nuancés et discutables pour ces trois enseignes...

mardi 12 octobre 2010

Quand la démarche Marketing est remise en question...

Le Marketing apparaît comme une réponse à un besoin existant sur le marché. Mais est-on suffisamment à l'écoute de l'environnement pour en saisir exactement les problèmes à résoudre?

La création de nouveaux produits connaît un échec considérable. Packaging inadapté, contenu du produit qui ne convient pas aux consommateurs, cible mal choisie, les raisons peuvent être multiples mais restent souvent inexpliquées. Et quand on sait que 90% des nouveaux produits échouent sur le marché, il est peut-être raisonnable de se demander si orienter son mode de réflexion différemment ne serait pas une solution.

Et si s'intéresser à l'environnement était la clef du Marketing?...


 A la différence de la publicité, un packaging ne doit pas être en lien avec la mode mais intemporel car l'objectif de la création d'un produit (à part dans certains cas bien précis) est sa pérennité. Or, quoi de plus éphémère que la mode?
De même, pour que le consommateur garde des repères et soit capable d'identifier rapidement le produit, un packaging ne doit pas trop se différencier par rapport à ceux de la concurrence.

Enfin, j'ai appris récemment que partir du problème à résoudre induit à dégager des performances nécessaires à sa résolution, et la nature de ces performances va amener à trouver des outils, des moyens, utiles à leur application.
Ainsi, plutôt que penser à un outil original et innovant qui présente telle ou telle fonction qui satisfaira forcément un besoin des consommateurs car l'intime conviction du marketeur l'en persuade, celui-ci peut penser à orienter sa réflexion de la manière opposée.


Et pour parvenir à cette démarche de réflexion, une bonne connaissance de l'environnement est nécessaire. C'est pourquoi, être à l'écoute et avoir un sens de l'observation développé doivent faire partie des compétences d'un bon marketeur...

   

dimanche 10 octobre 2010

Les voyages, comme indispensables à la construction du capital humain...



Quel que soit le cadre dans lequel se déroule le voyage, il est formateur. A des échelles différentes et à plusieurs niveaux, mais toute personne qui voyage en retire un bénéfice plus ou moins évident.

La nécessité de s'adapter à une autre culture, la remise en question des habitudes de vie personnelles sont des composantes essentielles au bon déroulement d'un voyage pour en retirer le plus de bénéfices possibles, et sont des preuves d'ouverture d'esprit.
Il s'agit également d'un excellent moyen pour faire une introspection, faire le point sur soi-même. Ce n'est qu'en faisant face à un nouvel environnement qu'on arrive à prendre du recul pour être capable d'apprécier objectivement celui dans lequel on a l'habitude de vivre.

D'un point de vue professionnel, les voyages ont également tout leur intérêt. Les relations professionnelles et le fonctionnement du monde du travail ont une dimension interculturelle qu'il est intéressant et enrichissant de connaître. Dans ce contexte également, il faut être capable de s'adapter et de remettre en question des habitudes de travail et mêmes des stratégies dont l'efficacité sera très différente d'un territoire à un autre.
A cela s'ajoutent les principes culturels et religieux, dont l'importance et la prise en compte peuvent-être primordiales dans certains pays.

dimanche 3 octobre 2010

Mon année de césure en Australie, l'expérience la plus mémorable

Pour ce premier article, commençons par un sujet qui me tient tout particulièrement à coeur: mon expérience en Australie.
En Septembre 2009, j'ai décollé vers ce pays de l'hémisphère sud pour y réaliser une année de césure.
Pourquoi une telle destination? Le désir d'aventure et le besoin de se prouver à soi-même qu'on en est capable. Et puis, il faut avouer que les clichés attribués à l'Australie suscitent une curiosité que les plus ambitieux veulent assouvir!

C'est à Sydney que j'ai travaillé pendant neuf mois au sein d'une entreprise d'import en produits gastronomiques français. J'ai ainsi eu la possibilité et le privilège d'apprécier l'environnement, le fonctionnement et les subtilités de ce secteur bien particulier. Cette expérience a été comme une révélation au grand jour de mon intérêt très prononcé pour la gastronomie et a constitué un élément primordial dans mon projet professionnel.
Dans ce pays où la gastronomie française a une image de qualité inégalée, il était très enrichissant de voir quelle place elle occupait et de quelle façon elle était considérée et utilisée auprès des grands restaurateurs australiens.
Une expérience au sein d'une entreprise en plein développement, un secteur d'activité des plus engageants et une activité riche et diversifiée ont rendu cette expérience professionnelle enrichissante et épanouissante.

D'un point de vue commercial, les Australiens ne sont pas en manque d'idées en termes de marketing et d'innovation, surtout quand il est question d'alimentation. Je ne citerai, parmi des dizaines, que les exemples suivants, certainement les plus représentatifs: le sushiman qui passe dans les zones industrielles à l'heure du déjeuner pour vendre des sushis frais aux professionnels, le coffeeman qui propose le même service avec du café, les dizaines de produits alimentaires diététiques, végétariens, sans gluten et j'en passe, les mêmes concepts étant adaptés aux nouveaux restaurants qui poussent comme des champignons, et la liste est longue!
D'un point de vue communication, un gros effort est fait sur la promotion des produits "Made in Australia", effort en partie expliqué par un vif esprit patriotique. 

D'un point de vue plus touristique, je ferai référence aux trois endroits que j'ai eu le privilège de visiter.

Sydney, quelle ville, quelle beauté! Une architecture si atypique qui rend ses monuments uniques et magnifiques. Une diversité de paysages qui offre des vues à couper le souffle et qui permet de passer d'une virée urbaine à une bush walk en quelques minutes.


Melbourne, un véritable damier, une immense diversité culturelle et culinaire, des infrastructures sportives extraordinaires et le sentiment d'une ville européanisée.


Le Queensland, un territoire d'une beauté époustouflante, au climat tropical et où la faune et la flore y sont tropicales et dépaysantes. Une mention spéciale à la Grande Barrière de Corail.


Un dernier mot sur le point que je considère comme l'un des plus importants et l'un de ceux qui rend ce pays si agréable à vivre: la mentalité des Australliens, adeptes de la bonne humeur, du "no worries" et de la "no-stress attitude"...

samedi 2 octobre 2010

Bienvenue

Qui suis-je?
Elodie CASTAGNA, née le 14 Mars 1987 à Bordeaux, ville dans laquelle je fais mes études.
Je suis en effet en troisième année à l'INSEEC et à la recherche de mon stage de fin d'études, un stage en lien avec mes passions et ma formation, spécialisée en Marketing Opérationnel, qui représentera un tremplin pour ma carrière professionnelle.

Pourquoi un blog professionnel?
A l'heure de l'explosion des nouvelles technologies et dans un monde où communication rime avec connexion (Internet, bien sûr!), il apparaît intéressant et essentiel d'utiliser un outil Internet pour faire le lien entre les recruteurs et les étudiants. Un moyen intéractif, ludique et attractif de faire part d'une personnalité, d'une vie, d'une ambition.

Maintenant, je vous souhaite une bonne visite.